Comment trader les kill zones en trading ?

Table des matières

C’est quoi une kill zone ?

Une Kill zone, c’est une zone temporelle dans la journée dans laquelle le marché est particulièrement actif. Ces moments sont les périodes les plus volatiles de la journée, offrant donc le plus grand nombre d’opportunités.

C’est durant les kill zones que les acteurs majeurs des marchés financiers (banques et autres institutions financières) sont les plus actives sur le marché.

Nous verrons dans cet article, les différentes sessions et les kill zones qui leur sont propres. Nous aborderons également le rôle du composite man dans les kill zones et nous discuterons de la manière dont il faut rentrer en position sur une kill zone, avec des exemples concrets.

C’est quoi une session de marché

Une session de marché (ou séance), c’est un intervalle de temps durant lequel une bourse est ouverte et qui permet aux différents acteurs des marchés financiers de négocier des titres comme les actions, les obligations ou les matières premières. Sur le marché du Forex, les sessions ont tout de même une importance capitale, car c’est durant ces dernières que les grosses institutions financières agissent en masse sur le marché.

Il existe plusieurs sessions qui portent toutes le nom d’une ville dans laquelle une grande place boursière est reconnue (Tokyo, Londres, New York, Sydney, Singapour). Seulement, pour faciliter les choses, on classe ces dernières de cette manière :

  • Session asiatique (Tokyo, Sydney et Singapour)
  • Session de Londres
  • Session de New York
Horaire session trading

Ce graphique représente les heures d’ouverture des différentes sessions dans le monde. On remarque qu’il y a également des sessions qui se superposent.

Chaque session possède des spécificités et les sessions sont toutes interconnectées. Les mouvements créés lors de la session asiatique sur le marché financier permettent aux institutions londoniennes de déclencher un certain mouvement.

Le prix des actifs varie différemment en fonction de laquelle on se trouve. On voit sur le graphique ci-dessous que les séance de Londres et de New York sont les plus agités. Nous observons également un pic à la superposition de ces deux sessions (12h-14h)

Volume session trading

Il faut comprendre que les kill zones et les séances de trading sont des concepts particulièrement utiles seulement pour les traders court-terme comme les scalpers. En effet, les traders à moyen et long terme ne seront pas impactés par des kill zones qui ne durent que quelques heures.

La séance asiatique

La séance asiatique (21h – 8h GMT) est une session particulièrement peu volatile sur les marchés financiers, pour une simple et bonne raison : l’Europe et les États-Unis dorment à ces heures-là et leurs séances de trading respectives sont fermées. Ainsi, les asiatiques sont les seuls à agir sur les marchés.

De plus les institutions asiatiques (Japon, Chine, Australie) ne sont pas les plus puissantes du monde et disposent de moins de capital que la majeure partie des banques et des fonds d’investissements européens et américains.

Le schéma classique pour une séance asiatique, c’est un écart de prix assez faible entre le point le plus haut et le point le plus bas de la session. On parle alors d’un « range » et d’une création de liquidité

Session asiatique exemple


Comme on peut le voir sur le graphique ci-dessus la volatilité lors de cette session asiatique n’était pas au rendez-vous et a créé beaucoup de liquidité aux extrémités du range. Cette liquidité servira à la séance suivante d’initier un mouvement.

La séance de Londres

La séance de Londres (8h – 17h GMT) est considérée par beaucoup comme la capitale du Forex, est connue pour être la session la plus volatile (30% des transactions mondiales), c’est durant cette dernière que la majorité des traders particuliers utilisent les kill zones pour placer de positions. Toutes les banques françaises, allemandes, anglaises, espagnoles sont actives sur le marché à ce moment-là de la journée.

Les montants cumulés que les banques et les fonds européens déversent sur le marché lors de cette plage horaire est tout simplement colossal, on parle en centaines de milliards d’euros.

Très souvent, la session de Londres vient chercher la borne supérieure ou la borne inférieure créée lors de la session asiatique. À partir de ce moment-là, une analyse précise du prix doit être effectuée pour comprendre s’il s’agit d’une fausse cassure ou non.

En général, il est très courant qu’une borne de la session asiatique soit prise pour permettre aux banques et aux fonds européens de récupérer la liquidité pour placer leurs positions. Ainsi, de brusques retournements de prix apparaissent souvent aux alentours de 8-9h (Heure de Paris).

Session londres exemple

On dit souvent que le point le plus bas ou le point le plus haut de la journée est décidé peu après le moment où la session de Londres à pris la liquidité de la session asiatique. Par expérience, même si ce concept n’est pas toujours véridique, il est tout de même intéressant d’observer que c’est très souvent le cas.

La séance de New York

La séance de New York (13h – 22h GMT) est également une session intéressante et volatile (19% des transactions mondiales). En effet, la place boursière mondialement connue (le Financial District de Wall Street). La kill zone liée à cette session est particulièrement tradée par les particuliers recherchant activement la volatilité.

Les banques et les fonds américains sont connus pour être les plus grosses institutions financières du monde (JP Morgan, Goldman Sachs, ou encore Vanguard et Blackrock). Les liquidités déversées sur les marchés sont donc également astronomiques.

La séance de New York se superpose pendant quelques heures avec la session de Londres. On assiste alors à un des moments les plus volatiles de la journée. C’est aussi un moment dans lequel une quantité notable d’annonces économiques vont avoir lieu sur les marchés financiers.

Session new york exemple

La session de New-York est connue pour poursuivre le mouvement entamé par la session de Londres, dans la majeure partie des cas. Bien que ce phénomène soit couramment observé, il n’en reste pas moins une science inexacte.

Le rôle du composite man durant les kill zones

Comme nous l’avons déjà abordé dans de nombreux articles, le composite man est un concept inventé par Richard D. Wyckoff. Il abordait les marchés financiers comme s’il était le résultat des décisions d’un seul et même acteur. Encore aujourd’hui, cette manière d’aborder les marchés est selon moi la plus intéressante.

Les différentes interconnexions existantes entre les différentes institutions financières créent une direction commune aux prix des différents actifs sur les marchés financiers. Ainsi, ils travaillent main dans la main pour mener le prix à un endroit souhaité.

Pendant les kill zones, le composite man souhaite très souvent récupérer la liquidité créée lors de la session asiatique afin de pouvoir retourner le marché dans le sens qu’il souhaite. On parle ici de « chasse aux stops », un terme répandu dans le monde des traders particuliers.

En vérité, les institutions financières ne souhaitent pas que le prix remonte pour faire perdre les investisseurs particuliers ou les petits fonds. Ils veulent simplement chercher de la liquidité durant ces kill zones pour amorcer leur mouvement.

Les différentes kill zones en fonction des sessions

Comme nous l’avons abordé précédemment, il existe différentes kill zones sur les marchés financiers. Chaque kill zone est propre à une session et il est possible qu’une session comporte plusieurs kill zones.

Les kill zones sont les moments de la journée dans lesquels la volatilité est à son paroxysme. Dans toutes les sessions, il a été prouvé statistiquement que certaines plages horaires sont plus volatiles que d’autres. Et ce même pour la session asiatique qui n’est pas reconnue comme une session particulièrement volatile.

La kill zone asiatique

La session asiatique (Sydney + Hong Kong + Tokyo) commence à 21h et termine à 8h du matin (GMT). La kill zone, la période dans laquelle la séance asiatique est la plus agitée se situe entre 23h et 3h du matin (GMT). En réalité, la kill zone est (pic de volatilité) à cette heure-ci est principalement due à l’ouverture de la session de Tokyo.

Comme nous l’avons expliqué précédemment, même si la session asiatique, est de loin, la session la moins volatile, on peut tout de même s’y intéresser pour placer des positions, d’autant plus dans la kill zone de cette session.

Cependant, il faut être stratégique. Le trader particulier est constamment à la recherche de volatilité, de manière à pouvoir profiter de certains mouvements. Lors de la session asiatique, seul les institutions financières asiatiques, australiennes et néo-zélandaises sont ouvertes et agissent sur les marchés. Il est donc cohérent d’aller chercher la volatilité sur des paires Forex contenant du JPY (Yen Japonais), de l’AUD (Australian Dollar) ou encore du NZD (New-Zealand Dollar).

Killzone asiatique

Voici un exemple de kill zone asiatique agitée, dans laquelle on peut observer des mouvements allant en moyenne de 15 à 20 pips. Cette killzone, bien que très intéressante est souvent délaissée par les traders, qui préfèrent dormir et attendre la session de Londres et de New York

La kill zone de Londres

La session européenne (Francfort + Londres) commence à 8h du matin, et se termine à 17h (GMT). La killzone de Londres se situe quant à elle peu avant l’ouverture, à 7h du matin et se termine à 9h du matin (GMT). On verra qu’il existe une autre kill zone durant la session européenne, toute aussi importante.

La raison pour laquelle la kill zone commence avant même l’ouverture de la séance européenne, c’est cette récupération de liquidité sur la session asiatique. En effet, les institutions financières ne perdent pas de temps et en général, une borne inférieure/supérieure de la session asiatique est rapidement récupérée. Les traders particuliers ont tendance à vouloir anticiper ce mouvement.

Il est souvent observé que, une fois la prise de liquidité réalisée dans la kill zone, le point le plus haut ou le plus bas de la journée est souvent établi. Ce phénomène est généralement respecté la plupart du temps.

De la même manière que pour la kill zone asiatique, il est logique de s’intéresser à des paires qui sont échangées par les institutions financières à un instant t. En effet, la session européenne comprend la session de Francfort et la session de Londres. Les traders chercheront à trader des paires Forex contenant de l’EUR (Euro) ou du GBP (Livre Sterling).

Killzone londres

On peut observer sur le graphique boursier ci-dessus à quel point la kill zone européenne (et particulièrement la kill zone de Londres) peut entraîner de forts mouvements sur les marchés financiers. À ce moment-là de la journée, de nombreux traders sont à l’affut d’opportunités.

La kill zone de New York

La session de New York, commence à 13h et se termine à 22h (GMT). On comprend donc qu’il existe 4 heures durant lesquelles les institutions financières européennes et américaines sont actives en même temps sur les marchés financiers. La kill zone de New York, se situe donc légèrement avant l’ouverture de la session américaine de 12h à 14h (GMT).

De la même raison que pour la kill zone de Londres, la kill zone de New York commence avant même l’ouverture de la session de New York, car les investisseurs spéculent sur la direction que va prendre la marché une fois la session ouverte. En fonction du début de la session de Londres, certains traders ont des stratégies qui leurs permettent d’émettre un scénario sur l’ouverture de la session de New York.

On fait donc face lors de cette superposition des sessions à un pic de volatilité particulièrement intéressant pour les traders. En général, la session de New York a tendance à suivre le mouvement initié lors de la session de Londres, même si ce phénomène est loin d’être une science exacte.

killzone new york

Durant la kill zone de New York, à peu près toutes les paires les plus échangées sur le marché Forex connaissent leur pic de volatilité de la journée. Toutes les paires comportant de l’USD (Dollar américain), de l’EUR (Euro), et du GBP (Livre Sterling), sont concernées.

La kill zone de fin de Londres

La dernière kill zone de la journée correspond à une intervalle contenant la clôture de la session européenne. Elle intervient juste avant la fin de la session entre 16h et 17h (GMT).

La clôture de la session des institutions européennes entraîne une forte volatilité due à la clotûre des positions des différentes institutions françaises, allemandes, anglaises et d’autres pays européens. Elle annonce également la fin de la superposition avec la session de New York, et donc la fin de l’abondance de volatilité sur le marché.

Durant cette kill zone, on peut apercevoir des mouvements allant de 20 à 40 pips. Il s’agit donc de mouvements particulièrement drastiques sur le marché du Forex, en si peu de temps.

Killzone fin de londres

On peut observer sur le graphique boursier ci-dessus à quel point la kill zone de fin de Londres peut entraîner de forts mouvements sur les marchés financiers. À ce moment-là de la journée, de nombreux traders sont à l’affut d’opportunités avant de finir leurs journées de trading.

Pourquoi trader les kill zones ?

Les kill zones sont particulièrement appréciées par la majorité des scalpers. Comme nous l’avons évoqué plusieurs fois depuis le début de cet article, la raison principale pour laquelle j’encourage n’importe quel scalper à trader les kill zones : c’est la volatilité. Ce paramètre est certainement le plus important lorsque l’on est un trader particulier. Sans volatilité, les gains du trader sont réduits à 0.

De plus les kill zones sont des moments clés de la journée, qui avec un peu d’expérience peuvent donner de nombreuses informations sur les futures directions du prix. Évidemment, rien n’est sûr à 100% quand on fait du trading, seulement le but est d’émettre des scénarios avec le plus de probabilités. Selon moi, les kill zones permettent dans certains cas, d’augmenter ces probabilités.

En termes d’opportunités disponibles sur le marché par heure, les kill zones offrent la plus grande densité. Ce sont ainsi des périodes dans lesquelles les opportunités de trading surperforment les autres horaires dans la qualité et dans la quantité. Comprendre les mouvements des institutions financières est également un élément très important pour maximiser les profits lors des kill zones.

Au-delà de l’aspect purement financier, le trading des kill zones implique d’être capable de définir un cadre de trading pour soi-même. Quand on commence le trading, on peut avoir tendance à vouloir trader beaucoup et tout le temps. Plus les années passent et plus on comprend qu’un bon trader est un trader capable d’être sélectif, et ce même sur des intervalles de temps courts comme les kill zones, quitte à n’émettre aucun ordre.

Le cadre de trading est un critère essentiel lorsque l’on débute dans le trading et que l’on souhaite générer ses premiers revenus en trading. Avec certaines contraintes que proposent les prop firms (la meilleure solution pour faire de l’argent en trading selon moi), définir son système et son cadre de trading sont des éléments clés.

Pour les scalpers débutants, je pense que trader les killzones est la meilleure façon de progresser sur le plan mental. En effet, il faut apprendre à garder la tête froide lors d’une session de trading en perte ou lorsque aucune position n’a été prise.

Comment ouvrir une position dans une kill zone ?

Chaque scalper a des méthodes différentes pour ouvrir des positions dans les kill zones, certains agissent sur les annonces économiques, d’autres cherchent des supports et des résistances et d’autres échangent uniquement sur le carnet d’ordres.

Dans cette section, je me concentrerai uniquement sur les positions que je maîtrise. Pour ceux qui suivent mes articles depuis un certain temps, ils savent que j’utilise principalement les schémas de Wyckoff dans la grande majorité de mes trades sur les marchés financiers.

Nous verrons également comment placer les ordres stop-loss et take profit d’un trade que l’on ouvre dans une kill zone. Même s’il n’existe sur les marchés aucun cas parfaitement similaire, il est possible de positionner le stop-loss et le take profit sur des points clés plus génériques.

Ouvrir une position avec une schématique de Wyckoff

Il serait bien trop long d’expliquer dans cette partie comment fonctionnent les schématiques d’accumulation et de distribution de Wyckoff. Un article extrêmement complet a déjà été publié à ce sujet, et je vous invite à aller le lire pour comprendre comment j’interviendrais dans les kill zones.

La session asiatique crée de la liquidité sur 2 bornes. Certaines fois la liquidité est plus présente sur une borne que sur l’autre, mais en général, elle est plutôt bien répartie. Une zone de liquidité prête à se faire renverser est sans aucun doute le début d’une schématique de Wyckoff. Nous chercherons donc à intervenir dans la kill zone de Londres.

La première chose à faire est d’attendre la prise de liquidité dans la kill zone entre 7h et 9h du matin (GMT), en général ce phénomène a plutôt lieu vers 8h. Dans le schéma que je vous présente, la borne supérieure est cassée par le prix et la schématique de distribution se met donc en place.

exemple trading killzone

Une fois cette distribution dans la kill zone visualisée, on décortique la manipulation de Wyckoff pour déceler l’entrée optimale. Une fois la liquidité récupérée, on descend en timeframe pour aller repérer une cassure de structure, qui nous servira de confirmation pour entrer une position. Une fois cette cassure effective, on peut placer un ordre limit au retest de la cassure.

exemple trading killzone

Placer son stop-loss au-dessus d’une récupération de liquidité

Une fois notre ordre prévu, il faut déterminer où sera placé notre stop-loss. Il est essentiel que ce stop-loss ait du sens, qu’il ne soit pas placé au hasard. En général, si vous ne pouvez pas expliquer pourquoi votre stop-loss est placé à cet endroit précis, c’est l’indication d’un trading mal maîtrisé.

Ici, notre but est de placer le stop-loss au-dessus d’une récupération de liquidité. En effet, la liquidité récupérée durant la kill zone permet aux institutions d’injecter des positions (vendeuses dans notre cas) et ces entreprises ont tout intérêt à défendre cette zone de prix de manière à ce que leurs profits ne se transforment pas en pertes.

exemple trading killzone

Dans le cas d’une schématique de distribution, le stop-loss n’est pas compliqué à placer, il suffit de le placer au-dessus de la prise de liquidité (dans notre distribution). De plus, nous profitons du high de Londres, qui est censé être le point le plus haut de la journée, nous assurant potentiellement un trade qui finira en profit.

Placer son take profit sur une zone de liquidité

Le take-profit d’une position démarrée dans une kill zone demande un petit peu plus de réflexion. En général, mon conseil est de placer son take profit sur une zone de liquidité dans le sens du prix. Ces zones permettent aux institutions financières de prendre des profits sur leurs positions antérieures ou de replacer plus de positions.

Ces zones sont donc particulièrement recherchées par les institutions financières durant les kill zones. Si le ratio risk/reward le permet on pourrait placer notre take profit sur la borne inférieure de la session asiatique. Dans le cas où il n’est pas assez suffisant, il faudra déterminer le niveau de liquidité le plus proche qui offre un risk/reward suffisant.

exemple trading killzone

Dans notre cas, nous repérons une zone de liquidité en dessous de la session asiatique. Nous avons ainsi finalisé notre position dans la kill zone de Londres avec un point d’entrée, un stop-loss et un take profit parfaitement positionnés.

Trading Education

Cet article a été publiée par le fondateur de trading Education, Trader spécialisé sur le Forex depuis plus de 5 ans. Je partage maintenant  mes connaissances sur le trading, la finance l’économie et l’investissement !

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